Nouvelles et textes courts - Estelle Faye écrit des histoires

Vert Arsenic (2023)

Editions Livr’S

Anthologie officielle du Festival Etrange Grande 2023

A Londres, dans l’Angleterre Victorienne, un jeune homme privilégié et protégé va découvrir la noirceur du monde, et peut-être davantage, en cherchant à retrouver le modèle d’un étrange et envoûtant tableau.

La célébration de la mer (2023)

dans Nous Parlons depuis les Ténèbres

Couverture d’Anouck Faure

Une nouvelle avec de l’océan, dans un projet qui me tient particulièrement à cœur, pour mettre en avant un genre et ses autrices trop souvent ignorées.

J’en parle davantage ici.

(2022)

Un ouvrage collectif chez Fleuve éditions pour Le Rire Médecin

Illustrations de Jack Koch

Le lion sur la roche (2022)

dans Dans les yeux d’un animal

éditions Auzou

Anthologie au profit de l‘ASPAS

Un lion des cavernes voyageant dans le temps, inspiré par les peintures rupestres des grottes du Lot (encore autour de Cahors^^)

Dans les combes (2022)

dans Fonds de terroirs

Anthologie officielle du Festival ImaJn’ère 2022

Couverture de Jacques Pinbouen

Une plongée semi autobiographique, carrément fantastique, dans les combes autour de Cahors, par les crépuscules d’automne.

La Main à Quatre Doigts (2021)

dans Frontières

Editions Mnémos

Anthologie officielle du Festival des Imaginales 2021

Dirigée par Stéphanie Nicot

Couverture de Stéphane Fert

Une nouvelle gothique, maritime et fantastique, parfaite pour l’atmosphère d’Halloween

Brouillard sur la baie (2021)

mini recueil numérique

chez Albin Michel Imaginaire

Mini recueil numérique reprenant mes deux nouvelles inspirées par mon séjour à San Francisco, Bal de Brume et Les Anges Tièdes ( Prix Rosny Aîné 2017)

Prohibition Times (2006)

dans Années Folles !

chez Rivière Blanche

Et sur la page Facebook dédiée

Kansas, 1924. Une troupe hétéroclite s’enfonce dans l’Ouest américain à la recherche de l’esprit qui a fait naître la Prohibition au début de la décade. L’affrontement ultime se prépare…

( présentation officielle par Jérôme Akkouche et Tepthida Hay)

On en parle sur Au Pays des Cave Trolls

et sur Un papillon dans la Lune

Photo mise en scène par Fabien Legeron :

Conte de la pluie qui n’est pas venue (2020)

dans No(s) Futur(s)

chez ActuSF

Dans une Sibérie dévastée par le dérèglement climatique, une jeune agente remonte un fleuve, pour assassiner le gardien d’une des dernières terres préservée

Prix Rosny Ainé 2021

On en parle sur La Grande Parade

sur Just a Word

Jardins (2019)

dans Natures

Editions Mnémos

Anthologie officielle du Festival des Imaginales 2019

Dirigée par Stéphanie Nicot

Couverture de Grsegorz Rosinski et Piotr Rosinski

Troisième nouvelle dans mon univers de Space Opera, Jardins se situe un peu après Hoorn, et rêve de jardins dans l’espace, en fuyant une terre dévastée…

Cette nouvelle est ressortie en numérique en avril 2022 au Club de Nouvelle d’ActuSF

Une robe d’écailles (2018)

dans Dracones

chez Elenya Editions

Anthologie officielle du Salon Fantastique 2018

Couverture de Mathieu Coudray

Un deuxième conte dans l’univers de Bohen, cette fois sur les rivages des Havres, où par une nuit de pleine lune un soldat vole la peau écailleuse d’un drac.

Quatre articles :

armes,

politique,

fantasy française

et loi/chaos, ce dernier partagé avec Lionel Davoust

(2018)

dans le Dictionnaire de la Fantasy

aux Editions Vendémiaires

dirigé par Anne Besson

L’obscurité entre les étoiles (2018)

dans Civilisations

chez Les Vagabonds du rêve

Anthologie officielle du Festival Nice Fiction 2018

Dirigée et illustrée par Hélène Marchetto

Un jeune immigré clandestin, entre la Bolivie et le Chili, se perd dans la neige sur les Andes et va suivre des fantômes Incas…

Elle a tes yeux (2018)

dans Créatures

chez éditions Mnémos

Anthologie officielle du Festival des Imaginales 2018

Dirigée par Stéphanie Nicot

Couverture de John Howe

Dans un futur lointain, un homme retrouve, chez un danseur/danseuse cyborg androgyne, les yeux de la femme qu’il a aimée.

Une Flûte d’os (2017)

dans Dyrméa

chez Elenya éditions

Anthologie officielle du Salon Fantastique 2017

Couverture de Mathieu Coudray

Un conte cruel des Montagnes Grises, dans l’Univers de Bohen.

Ci-contre : l’illustration intérieure, et la véritable flûte en os qui a inspiré la nouvelle :

Les anges tièdes (2016-2017)

Réédition dans l’anthologie des Utopiales 2017,

éditions ActuSF

première parution dans Un Tremplin pour l’Utopie (voir plus bas)

Cette nouvelle a remporté le Prix Rosny Aîné 2017.

Une version audio (avec ma voix) sur Coliopod

Une critique sur Le Bibliocosme.

Cheval de Mer (2017)

dans la revue Gandahar hors-série IV

Sur l’île de Chiloé, au sud du Chili, un petit garçon rêve au Caleuche, le vaisseau fantôme qui, croit-il, lui a pris son père.

Alors que la tempête menace, certains secrets des adultes risquent de le mettre en péril.

une critique sur La Yozone

Traverser le pont (2017)

dans Frontières

anthologie dirigée par Simon Bréan

chez Parchemins et Traverses

couverture d’Olivier Cotte

Dans un monde en décrépitude, le dernier chevalier d’un ordre autrefois glorieux va affronter le gardien d’un vieux pont. Ma nouvelle de fantasy la plus épurée à ce jour, et la plus nostalgique, aussi.

Cent Retours (2017)

dans Dimension Brocéliande ,

anthologie dirigée par Chantal Robillard

chez Rivière Blanche

couverture de Jeam Tag

Un hommage à Brocéliande et à la fée Morgane, une variation à notre époque sur le Val sans Retour.

Ci-dessous : l’anthologie à Brocéliande, dans la forêt qui l’a inspirée :

Bal de brume (2017)

dans Bal Masqué,

anthologie dirigée par Mathieu Guibé

aux Editions du Chat Noir

couverture de Marcela Bolivar

Un bal d’Halloween près de San Francisco, au milieu des séquoias de Muir Woods noyés de brume. Ma première nouvelle presque autobiographique, inspirée par mes études de cinéma et de théâtre.

Hoorn (2017)

dans Destination (s)

anthologie des Imaginales 2017 dirigée par Stéphanie Nicot

chez Mnémos

couverture de Julien Delval

La première expédition humaine vers une exoplanète, à une époque où les gouvernements ont renoncé à l’exploration spatiale.

Du Space Opera écrit comme du roman maritime, sur fond de pirate metal.

Une chronique par Pitiponks

et sur Emaginarock

contes-decryme

Nina (2017)

dans Contes d’Ecryme

éditions Mnémos

et Matagot

recueil dirigé par Isabelle Périer

Une histoire de passion et d’idéal révolutionnaire, d’amour, de rêves, de trahison et de brume, dans le monde de steampunk étrange créé par Mathieu Gaborit.

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Le Diable (2016)

dans Utopiales 2016, anthologie officielle du festival des Utopiales

éditions ActuSf

couverture Denis Bajram

D’où vient ce Diable opalescent qui hante le Prieur Gabriel, dans l’abbaye au cœur des marécages ? Dans un monde où on brûle scientifiques et sorcières, quels secrets dissimule le vieux père abbé ?

Dans la sélection des Inrocks

la critique de Présences d’Esprits

dimension-cites-italiennes

Azur (2016)

dans Cités Italiennes

éditions Rivière Blanche

dirigée par Hélène Marchetto, illustration Sylvain Despretz

Une nouvelle par lettres.

En Europe, au tournant du dix-neuvième siècle, alors que les alliances politiques se font et se défont au gré des guerres, un vieux diplomate anglais retrouve des émotions de sa jeunesse, dans Naples et Pompéi écrasées de soleil.

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**Un monde plus tiki (2016)**

dans Avenirs Radieux

éditions Rivière Blanche

dirigée par Patrice Lajoye

Mon premier Space Opera !

L’humanité a gagné les étoiles (logique, pour un Space Op’). La culture tiki a sauvé de la déprime, et potentiellement du suicide, Butch Buckaroo, contrebandier de l’espace, qui a mis tout son équipage à l’heure hawaïenne. Equipage bien décidé à se battre, avec ses propres armes, pour la liberté de Barrer Reef, une planète-océan où se développent de gigantesques atolls de corail.

Pendant ce temps, dans les soutes du vaisseau, un écrivain en devenir réfléchit sur son grand roman, une histoire alternative où l’humanité a abandonné la course à l’espace…

antho tiki

feeetautomates

Smoke and Mirrors (2016)

dans Fées et Automates

anthologie du festival des Imaginales 2016

éditions Mnémos

anthologiste : Jean-Claude Vantroyen

Couverture : Hélène Larbaigt

Après Une robe couleur d’océan, une autre variation, très différente et complètement indépendante, sur le conte de la Petite Sirène. Trois destins de femmes dans l’Amérique des années 20 à nos jours, avec un zeste de cinéma, de théâtre, et des fées dans la fumée.

Nouvelle reprise en ouverture de l’anthologie du confinement des Imaginales 2020

antiquidees

La Maison des Vignes (2016)

dans Antiqu’Idées

anthologie du festival ImaJ’nère 2016

couverture : T Boy

Un bel été sur le causses, gorgé de soleil et de chaleur… mais des forces anciennes rôdent encore dans les vignes, et attendent dans l’ombre au fond des puits…

fees

Sel (2016)

dans Dimension Fées,

une anthologie présentée par Chantal Robillard.

Mon premier texte inspiré par mon premier (mais pas dernier, j’espère… ) voyage au Chili. De l’anticipation teintée de réalisme magique, de la SF féérique, assez engagée, avec un désert de sel, de l’océan et un vélo.

chez Rivière Blanche

Sur la photo, le salar qui a inspiré la nouvelle :

salar

utopie

Les anges tièdes (2016)

Dans Un Tremplin pour l’Utopie,

collection Hélios, éditions Indés de l’Imaginaire

Dans un San Francisco dépeuplé, après la Troisième Guerre Mondiale, la nature reprend peu à peu ses droits. L’humanité vit, pour l’essentiel, connectée à un monde virtuel, Arcadia Online, où il n’ y a plus ni monstres, ni épreuves, ni aventures…

Après Et j’ai vécu en Arcadie, publiée dans Fiction numéro 19, c’est ma deuxième nouvelle qui évoque le jeu de rôles Arcadia. Mais les deux peuvent se lire indépendamment.

Cette nouvelle a remporté le Prix Rosny Aîné 2017.

Une version audio (avec ma voix) sur Coliopod

Une critique sur Le Bibliocosme.

légendes abyssales

Une robe couleur d’océan (2016)

dans Légendes Abyssales,

anthologie dirigée par Thomas Riquet

Une variation sur le conte de la Petite Sirène, avec la présence entêtante de l’océan, et une plongée involontaire vers un continent englouti.

Cette nouvelle a reçu le prix Coup de Cœur du jury au Salon Fantastique 2016 ,

ainsi que le Prix Imaginales 2016 .

Critique sur Babelio

Anne Besson en parle sur ActuSF

chez Mythologica

Gardens in the desert (2015)

dans Dimension New York,

anthologie dirigée par Philippe Ward

C’est l’histoire de ‘Ma Simone, vieille dame frêle aux runnings blanches, qui décida de faire pousser des jardins dans le Bronx. L’histoire de Tommy la Tomate et Iggy l’Aubergine, Iggy the Eggplant, deux héros-légumes, deux mascottes en feutrine et aux yeux en billes de plastique, contre lesquelles se liguèrent les petits caïds locaux. Mais la légende dépasse parfois ceux qui l’incarnent, portée par la rumeur de la ville, par les rêves des enfants, par les dessins sur les murs et, peut-être, une touche de candomblé et de pouvoirs vaudou.

chez Rivière Blanche

Trolls-et-licornes

La Chasse à la Licorne (2015)

Dans Trolls et Licornes – l’anthologie des Imaginales 2015,

dirigée par Jean-Claude Dunyach

Le preux chevalier Euon de Ravers et sa soeur Mosquiane, la magicienne, viennent au petit bourg de Mortaigues pour mettre la main sur la mythique licorne, dont la corne aurait de grands pouvoirs aphrodisqiaques. Il fait beau, c’est le printemps, c’est la fête… Une nouvelle de fantasy champêtre, où les licornes ne sont pas toujours celles que l’on croit.

chez Mnémos

critique sur Bulle de Livre

sur Les lectures de Mariejuliet

La montagne aux trolls (2015)

Dans Trolls et Légendes – l’anthologie officielle du festival,
dirigée par Valérie Frances

Bienvenue à Brog, charmante bourgade nichée au cœur des Vosges. Brog, sa vieille forteresse gallo-romaine, ses soirées arrosées, ses ruelles tortueuses, ses petits chemins de montagne… et son musée du patrimoine où, au fond de certaines peintures, se terrent des présences dans l’ombre.

chez ActuSF

couverture de Magali Villeneuve

Prix Vampires et Sorcières 2015

critique sur Elbakin

sur La plume ou la vie

Et in Arcadia ego – et j’ai vécu en Arcadie (2014)

dans Fiction 19

chez les Moutons Electriques

couverture d’Aurélien Police

Les Ardennes, en pleine Troisième Guerre Mondiale. Par une nuit glaciale, un soldat isolé, perdu dans une forêt dont il ignore tout, avec, pour survivre, une couverture chauffante et une tablette tactile connectée à un monde virtuel, un jeu de rôle en ligne sur la Grèce Antique. Juste assez de piles pour alimenter l’un ou l’autre. Que choisira-t-il?

Une critique sur Blog-o-livre

La tête de singe (2014)

dans Bardes et Sirènes, anthologie dirigée par Sylvie Miller et Lionel Davoust

chez Mnemos

couverture de Krystal Camprubi

Sikil de Sangre fuit la guerre qui ravage sa terre natale. Elle cherche un navire pour partir au-delà des mers. Avec, comme seuls atouts, un féroce instinct de survie, une harpe, et une momie de sirène.

Une critique sur Bibliocosme

Gipsy Nuke (2014)

dans Fiction 18

chez les Moutons Electriques

couverture d’Aurélien Police

Des gitans devenus OS du nucléaire, dans une Europe de l’Est déliquescente. Des corps irradiés, martyrisés par l’atome, une SF d’anticipation presque engagée, sur fond de punk prolétarien, de souvenirs de Tchernobyl, et de légendes ukrainiennes.

Une critique sur Babelio

Madame Sāng (2014)

dans Chevalerie Chinoise, anthologie dirigée par Romain d’Huisser et Nicolas Henry

chez Rivière Blanche

Au onzième siècle, dans les Monts du Hunan. Dans ce paysage étrange, fait de légendes et de brumes, le jeune Cheng, lettré renié par son père, rencontre Madame Sāng, gironde cuisinière d’un certaine âge, en apparence débonnaire. Un hommage aux récits de sabre chinois, et à la gastronomie de Chine du Sud.

sur Elbakin

sur Wagoo

La Suriedad (2009)

dans Dragons, anthologie dirigée par Sébastien Guillot aux éditions Calmann-Lévy,

et en numérique aux Moutons Electriques

Océan Pacifique, au dix-huitième siècle. La dernière lettre d’un marin arraché à la noyade, qui couche sur le papier ses aventures en mer. Un récit tragique où le fantastique se mêle à la folie des hommes.

Plusieurs critiques de Dragons sur Noosfere

Une critique de La Suriedad sur La Prophétie des Anes

Une critique sur le site Vampires et Sorcières

Menthe Sauvage (2006)

dans Dieu Reconnaîtra les siens

chez Rivière Blanche

couverture de Geneviève Lehoux

Deux frères qui s’aiment et s’affrontent, pendant le siège d’un des derniers châteaux cathares, dans les Pyrénées, au treizième siècle.

Vu des coulisses

J’ai écrit La Suriedad juste après avoir lu la bande dessinée Long John Silver, et en écoutant en boucle Le Rocky Horror Picture Show. Je crois que les deux influences se retrouvent dans la nouvelle.

Madame Sāng m’a été inspirée, entre autres, par une discussion avec une partie de l’équipe d’Elbakin,sur l’importance de la nourriture dans les livres.

Menthe Sauvage, ma première nouvelle, a été rédigée pour l’essentiel un soir de quatorze juillet, entre un repas de famille et un feu d’artifice sur les dunes. Grâce à cette nouvelle, je suis partie à Chalabre, et j’ai pu voir en vrai le château que Roman Polanski a filmé à la fin de La Neuvième Porte. Tout cela, pour le coup, n’a rien à voir avec le contenu de la nouvelle.

Et in Arcadia ego, qui parle de MMORPG (jeu de rôle en ligne), est partie d’une expérience réelle, de la première aube que j’ai vu se lever sur Anarchy Online, alors que je venais d’emménager dans mon premier appartement, et que mon bureau sentait encore la peinture fraîche. Mon avatar était une soldate aux couettes rousses appelée Red Pearl – d’habitude, je préfère prendre des avatars masculins, dans les jeux de rôle, mais pas là. Dans la nouvelle, j’ai essayé de transmettre un peu de cette ambiance-là.

Gipsy Nuke, je l’ai écrite à une époque où je venais de travailler sur plusieurs choses très poétiques, très jolies, avec beaucoup de merveilleux. J’avais envie d’écrire une nouvelle “sale”, et en même temps un texte qui parle de liberté, une sorte d’anticipation côté punk, tout en gardant un aspect conte de fée.

La tête de singe est partie d’un vrai défi, écrire de la fantasy pure et dure, en nouvelle, et sans scène de combat – bref, tout ce qui n’était pas mon monde. Un grand merci aux anthologistes de Bardes et Sirènes, qui m’ont beaucoup aidée sur ce coup là !

La montagne aux trolls est née d’une rencontre, celle avec le retable d’Issenheim, à Colmar par un soir d’hiver. Cette peinture et ses énigmes, dans une ancienne chapelle Renaissance, dans un écrin de neige et de brume au-dehors, m’ont tout de suite fascinée. Et c’est un peu de cette fascination que j’ai voulu transmettre dans la nouvelle.