La Voie des Oracles – Tome 1: Thya
La Gaule, Ve siècle après Jésus-Christ.
Cerné par les barbares, miné par les intrigues internes et les jeux du pouvoir, l’Empire romain, devenu chrétien depuis peu, décline lentement. Les vieilles croyances sont mises au rebut, les anciens dieux se terrent au fond des bois, des montagnes et des grottes, les devins sont pourchassés par la nouvelle Église.
Thya, fille de l’illustre général romain Gnaeus Sertor, a toujours su qu’elle était une Oracle. Il lui faut vivre loin de Rome, presque cachée, en Aquitania, perdue au milieu des forêts.
Que faire alors, quand son père, son protecteur, tombe sous les coups d’assassins à la solde de son propre fils ? Il faut fuir, courir derrière la seule chance qu’elle a de le sauver… Se fier à ses visions et aller vers Brog, dans les montagnes du nord, là où, autrefois, Gnaeus a vaincu les Vandales. Et peut-être, le long de ce chemin pavé d’embûches et d’incroyables rencontres, voir le passé refaire surface, et réécrire l’Histoire…
Paru en octobre 2014
Public adolescent/adulte
Couverture d’Aurélien Police
(roman français jeunesse)
Prix de la librairie L’Antre-Monde
finaliste du Prix Imaginales des Lycéens
et du prix Bob Morane
sélectionné pour le prix des Dévoreurs de Livres
Quelques critiques :
Coup de cœur de Bookenstock
Coup de cœur de Bazar de la littérature (en point d’orgue à la fin de la vidéo)
Coup de cœur de la librairie Omerveilles, dans le Dauphiné Libéré
dans Le monde fantastyque de Chinmoku, une chronique qui fait le lien entre le tome 1 et le tome 2 des Oracles
*Existe également en poche, chez Folio SF
Vu des coulisses
– Thya est le premier tome d’une trilogie Young Adult.
– Au cours de l’écriture, je me suis mise à la cuisine de l’époque – anecdote au passage : les romains adoraient assaisonner tout, y compris les pâtisseries, avec du garum, un condiment à base de poisson fermenté dont l’équivalent moderne serait le nuoc-mâm.
Juste avant de goûter notre première fournée de gâteaux, avec mon équipe de testeurs, on a eu comme un gros doute… En fait c’est bon.
– J’ai à peu près retenu la règle du jeu de latroncules – ancêtre du jeu de dames, grosso modo. Je défie qui veut.
– Ce n’est pas (entièrement) de ma faute si le Destin s’acharne sur certains de mes personnages. Ce sont mes lecteurs tests qui en redemandent, à coups de “non, mais là, il s’en sort beaucoup trop facilement, quand même…”. Et j’écoute mes lecteurs..
Et là, le Prix Elbakin, fait main, cuir véritable, Thya bien au chaud à l’intérieur !